Pour naviger sur le site en utilisant le glossaire BDSM
Pour naviguer sur le site en utilisant le glossaire technique
 
Page d'accueil
À propos de nous
Articles BDSM
Editoriaux BDSM
Notre groupe de discussion sur Yahoo
Histoires BDSM
Galerie BDSM et divers
Humour BDSM
Liens BDSM
Sondages BDSM
Évènements BDSM
Annonces personelles BDSM
Pour nous écrires
 
To navigate the site in English
 

 

 

Histoires Des Invitées

Florence 4

Par Florence

 

Scène 4 Le premier gage.

 

Encore sous le choc de cet après-midi cauchemardesque, je suis restée dans un état d'abattement et je n'ai pas vu l'heure avancée. Mais je n'allais pas trop tarder à vivre un brusque retour à la réalité. En effet, sitôt 17h passé, alors que j'étais encore au salon de coiffure, mon téléphone se met à sonner. Toujours aussi coincée entre le fait de vivre encore une épreuve qui allait me mettre à mal et le risque d'avoir des représailles de la part de Malika, j'hésitez quelques secondes à répondre mais finalement me résigne

    - Oui allo ?

    - Allo chérie...

C'est une voix masculine émanant d'un homme apparemment mature.

    - Heu oui ?

    - Ben dis donc ma petite voisine parait moins délurée que le gentil petit message que j'ai reçu dans ma boîte aux lettres laisse entendre...

Ca y est le cauchemar recommence !

    - Heu non non heu, enfin oui oui.

Je suis sous le choc ! C'est mon voisin pervers qui me reluque depuis des années avec avidité quand je passe dans la rue qui a déjà découvert mon message. C'est comme si l'horreur que je venais de vivre avait remisé dans ma mémoire ce qui s'était passé ce matin même. Oui, c'était ce matin même cette horrible séance d'humiliation qui s'est terminée par trois post it déposés sur trois de mes strings et déposés dans la boîte aux lettres du voisin, sur mon pare brise de voiture et dans une enveloppe avec une adresse en banlieue pour le troisième, que je m'étais empressée d'aller mettre à la poste dès ce midi.

    - Dis donc j'étais très excité par ce petit mot qui préfigure de belles réjouissances hein ?

    - Heu oui que dois je faire ?

je me surprends moi-même à faire ma docile. Malika n'est plus là mais je suis sous son emprise; c'est comme si elle surveillait mes moindres faits et gestes. Je ne vais plus jamais être tranquille !

    - Ah voilà une bonne réponse ! tu es chez toi là ?

    - Heu non, mais je peux y être dans 30'.

    - Très bien alors tu vas rentrer chez toi, mettre des talons aiguilles, une robe sexy, un string et seins nus dessous. Puis tu te tiens prête derrière ton portail et tu m'appelles.

    - Oui très bien, j'y serai.

    - Ok soit bien à l'heure !

Aussitôt je range mes affaires et rentre chez moi de manière précipitée à la fois affolée par la suite des événements et néanmoins avec un je ne sais quoi d'excitation qui me tient en me disant que je vais tomber plus bas à chaque fois !

Arrivée après 20' de trajet je me précipite dans ma chambre et aussitôt surgit l'image de Julien avec Malika en train de baiser sans retenue sur notre lit mais je prends sur moi et me change en mettant une robe moulante mi cuisses, des talons 8 cm seins nus dessous et un de mes strings. J'ai trop peur de'être en retard.

Me voilà dans cette tenue juste derrière mon portail et j'appelle mon voisin.

    - Voilà je suis en place.

    - Bien alors tu vas ouvrir ton portail, descendre ton string au niveau de tes genoux et traverser la rue au moment où je te le dirai ! Et sache que je t'observe à la jumelle depuis mon 1er étage ! Et ne coupe pas notre conversation avant d'être devant moi !

    - Oh ! je ne peux retenir un petit cri de surprise.

Je m'imaginais que j'allais y passer mais je devine la perversion qui l'accompagne et qui me fait hésiter Juste à ce moment, je reçois un sms de Malika :

    "applique toi bien, sinon ta vie est foutue !"

Ce sms me remet une pression folle et me fait franchir le pas. J'ouvre mon portail et descend mon string sur mes genoux. J'attends dans cette position honteuse. je suppose que monsieur attend que la rue soit déserte pour me faire traverser mais très rapidement une voiture passe. Ouf elle ne m'a pas vue. Mais très vite j'entends deux personnes d'âge mûr qui discutent en marchant et qui approchent... C'est un couple. Juste avant qu'ils passent devant mon portail je baisse la tête. Oh c'est sûr, ils vont me voir. Et en effet l'homme me remarque et dit à la femme :

- Mais c'est quoi ça ! Regarde pas chérie ! Vraiment, il y a des gens qui se comportent de manière honteuse ! et dans notre quartier en plus !

    Sa femme réplique :

      - Appelle la police alors !

      - Laissons faire pour cette fois répond l'homme. J'entends dans sa voix qu'il n'était finalement pas mécontent du spectacle !

    Et je les entends s'éloigner. Puis l'ordre arrive.

      - Go !

    Je sors alors sans un mot, referme mon portail et mon seul but est alors d'arriver rapidement à la porte du voisin.

    Je jette subrepticement un regard à droite et à gauche et j'aperçois des silhouettes au loin. Il ne faut pas que je traîne !

    Mais ma démarche est entravée par mon string qui tient mes genoux serrés. Je fais de petits ps pour avancer; je dois être ridicule !

    Me voilà au milieu de la chaussée quand une voiture arrive et est obligée de freiner pour me laisser passer. je détourne mon regard pour pas me faire reconnaître mais je suis en pleine lumière et ils ne me ratent pas !

    La fenêtre du passager s'ouvre ! C'est un homme.

      - Eh la bourge ! Tu vas à l'abattoir ? T'as besoin d'aide ?

    Je fais non de la tête et me précipite sur le trottoir d'en face.

    Ouf la voiture reprend sa route. Je sonne à l'interphone.

    Quelques secondes se passent qui me semblent une éternité. Je devine les silhouettes qui se rapprochent sur le trottoir d'en face !

      Vite ! Je supplie en silence "ouvrez ! vite !".

      - Oui ? c'est pour quoi ? répond mon voisin par l'interphone.

      - C'est moi ! Vite, ouvrez moi, des gens arrivent !

      Heu oui, mais vous venez pour quoi exactement ?

    Je sens sa voix doucereuse et perverse me mettre à la torture ! Il a décidé de prendre son temps.

      - C'est moi monsieur ! J'ai obéis et fais tout ce que vous m'avez dit !

      - Oui mais vous venez faire quoi chez moi ?

    J'entends les pas qui se rapprochent. C'est sûr je vais être repérée !

    Poussée à bout je me lâche.

      - C'est moi ! pour me faire sauter monsieur, vite !

    Horreur, il a réussi à me faire dire çà !

    Les pas sont tout près ; ce sont deux femmes du quartier; je crois deviner de qui il s'agit : des commères qui n'ont rien d'autre à faire que de commenter les potins du quartier, je suis foutue ! Je les entends.

      - Mais tu as vu ça ? Dans notre quartier ! Elle va chez M. Dorin !

      - C'est qui ? répond l'autre.

      - Je sais pas, on voit pas bien

    Je suis tétanisée et rabat mes cheveux devant mon visage tête baissée je murmure à l'interphone :

      - Vite monsieur je vous en prie !

      - Je t'ouvre si tu dit à haute voix : "Ouvrez moi monsieur je viens pour me faire sauter !"

    Affolée je réponds aussitôt en essayant de maquiller ma voix pour ne pas me faire reconnaître.

      - Ouvrez moi monsieur je viens pour me faire sauter !

      - Mais on dirait Florence dit l'une.

      - Non elle a pas cette voix et tu l'imagines faire çà ! ce serait pitoyable ! Tromper son mari avec son voisin, et avec celui-là en plus, un gros obsédé !

    J'entends alors le déclic de la porte qui s'ouvre et sans un regard de côté je m'engouffre dans le jardinet devant la maison et referme aussitôt le portail à l'abri des regards de la rue.

    Je reprends un peu mon souffle. Mon coeur bat à toute vitesse.

      - C'était que la première étape ! Maintenant tu montes le perron et ouvre la porte, elle est ouverte. Puis tu montes au premier étage et entre dans la première pièce à droite. Toujours ton string sur les genoux bien sûr !

    Ca continue. Je suis entraînée dans un cycle infernal mais j'obéis prestement. Me voilà à l'intérieur. Je prends l'escalier et monte à l'étage. Il n'y pas de bruit.

    Je regarde ensuite dans la pièce à droite et vois mon voisin face à moi sur un fauteuil, le sexe dressé dans sa main et le regard pervers. Derrière lui un rideau tiré devant la fenêtre. Je suis devant lui string sur les genoux dans cette posture humiliante et ne peux m'empêcher de baisser le regard de honte.

      - Ah chère voisine, depuis le temps que j'attends ce moment ! Je ne sais pas ce qui s'est passé récemment mais tu me snobais depuis toujours du haut de ta condition de bourgeoise parvenue et tout d'un coup tu viens te faire sauter dans la maison devant chez toi ! Monsieur n'est pas au courant je suppose ?

      - Heu non, non, ça doit rester entre nous...

    Je vois alors son regard sadique qui me fait comprendre que c'est lui qui a la main et que là il me tient ! Je suis trop conne, je viens de lui donner un objet de chantage !

      - En tous cas, je t'ai réservé une petite sauterie dont tu te souviendras... et pas que toi d'ailleurs ! Ahahah !

    Je me sens comme un agneau se jetant dans la gueule du loup !

      - Allez fous toi à 4 pattes !

    Docile, j'obéis et me mets à 4 pattes devant lui, le string sur mes cuisses, mes fesses à moitié à l'air, ne pouvant m'empêcher de regarder son sexe tendu à l'extrême qu'il branle en me regardant faire ce gros porc !

    Je sais par avance que je vais y passer et que ce sera pas une partie de plaisir... ou que le plaisir sera exclusivement le sien.

    J'ai soudain le sentiment dans cette fâcheuse posture que finalement je mérite plus ou moins tout ce qui m'arrive. Si je n'avais pas snobé voire méprisé Malika quand elle était mon employée, si je ne l'avais pas licenciée pour une faute bénigne, si..., si... Je me sens soudain rentrer dans une condition de soumise. Mais je n'ai guère le temps de réfléchir à tout çà !

      - Allez salope viens prendre ta pâtée !

    Et là, je m'approche à 4 pattes tortillant de la croupe pour arriver à hauteur de son sexe. Je sens alors son odeur rance de mâle et grimace.

      - Allez fais pas ta mijaurée ! Tu sais je me suis pas lavé le jonc depuis deux jours mais je suis sûr que tu vas aimer me le renifler et lécher comme une chienne.

    Toujours aussi docile je joue à renifler par petits à coups son sexe dressé où les odeurs se mêlent et je sors ma langue pour le lécher de haut en bas fermant les yeux pour me donner du courage, sentant malgré moi un mélange d'odeurs de sueur, de sperme et d'urine.

      - Garde les yeux ouverts et regarde moi pendant que tu me suces ! Je veux voir ta gueule de bourgeoise quand tu me suces !

    Obligée de le regarder tout en le prenant alors en bouche, mon humiliation est à son comble. Je dois regarder mon bourreau m'obliger à le sucer. Et le pire est que je m'applique ressentant en moi cet avilissement total mais obligée de l'assumer en croisant son regard pervers.

      - Bonne chienne allez ! lèche mes couilles maintenant.

    Et me voilà obligée de lui lécher ses couilles velues et qui sentent fort la transpiration. L'odeur est écoeurante mais je me force là aussi. Je vois bien qu'il bande fort et je me dis qu'il va avoir envie de me gicler dessus ce qui aura au moins le mérite de calmer ses ardeurs. Mais c'est bien lui le maître du jeu puisque se sentant venir, il me tire violemment la tête en arrière.

      - Tu crois pas que la musique est finie non ?

    Et d'un coup il me prend par la nuque et l'appuie sur son dard qu'il enfonce au fond de ma gorge sans pitié pour moi.

    je manque de m'étouffer et de vomir mais il n'en a cure. Ca a même l'air de l'exciter de me voir poussée à bout.

    Et là je subis un va et viens rapide où son sexe dur frappe les parois de ma gorge à chaque coup de boutoir. Je l'entends rire d'un rire gras tout en me mettant à la torture.

      - Ahahah tu la sens ma poutre la bourgeoise ? je suis sûre que ton pédé de mari ne te prend pas comme ça.

    Je suis outrée par son vocabulaire mais bien sûr je ne peux répondre...

    Je commence à baver sur ses couilles, j'en ai de partout et je me sens de plus en plus réduite à l'état animal.

      - Tu n'as encore rien vu chérie !

    Et me voilà une fois de plus les cheveux tirés en arrière, je lâche son sexe et cherche à reprendre mon souffle.

    Tout en me tenant fermement les cheveux il approche sa tête de mon oreille et me glisse tout bas :

      - On va passer à l'étape suivante...

    Puis il se lève m'obligeant à me lever aussi toujours tirée par les cheveux et obligée de suivre ses moindres mouvements.

      - Aïe, aïe !

      - Vas-y crie, ça m'excite encore plus !

      Puis il rajoute :

      - Tu vas aller te pencher à la fenêtre derrière le rideau. Comme ça tu verras bien la rue... et on te verra aussi !

    Je ne comprends pas là où il veut en venir mais je m'exécute docilement, passe derrière le rideau et en effet je vois pleinement la rue comme ça.

      - Allez penche toi, coudes sur la barrière de la fenêtre !

    J'obéis et me voilà en position. Forcément je suis obligée de me pencher en avant et mes fesses touchent alors le rideau que je sens se relever... Mes fesses à moitié couvertes par ma robe sont maintenant en deçà du rideau et mon corps du côté de la fenêtre et là je devine tout à coup son piège ! Il veut me prendre dans cette position, caché par le rideau d'où il peut voir la rue mais on devine à peine sa silhouette de la rue !

      - Allez on va voir si tu es capable de te retenir de couiner quand tu te fait sauter ! A moins que tu ne préfères que tout le quartier entende tes couinements ?

    Je vois l'horreur de la situation. Je vais être vue et je vais devoir éviter à tout prix que l'on devine ce qui se passe derrière moi !

    Je sens que mon voisin me descend le string puis me le mets de côté pour pouvoir ouvrir à loisir mes cuisses. Me voilà offerte sans défense. Et je sens son sexe s'enfoncer dans ma chatte lentement mais sûrement, mais je sens qu'il ne va pas au bout et se retient. Je serre les dents et grimace, tendue à l'extrême !

      - Ce n'est qu'un avant goût chérie ! A toi de bien jouer maintenant !

    Et là, il ne se passe... Il est toujours à moitié dans ma chatte, jouant avec mes nerfs. J'entends des voix, des passants qui arrivent du côté droit de la rue et là je comprends !

    Ce gros porc attend que l'on me voit pour me mettre au supplice ! Et en effet à peine les passants rentrent-ils dans mon champ de vision, et donc du sien, caché derrière son rideau que je le sens me faire des va et viens rapides.

      - Hmmf hmmmf

    Je me retiens de gémir mais pousse malgré tout de petits gémissements qui font se détourner les passants. ce sont deux jeunes d'une vingtaine d'années. Ouf je ne les connais pas ! Déjà me voir dans cette position de la fenêtre du 1er étage de mon voisin, la situation serait très très délicate mais en plus s'ils devinent ce qui se passe je suis foutue !

    Alors je pense à ma famille, à tout ce qui peut me raccrocher et je retiens ma respiration. Je fais mine de les saluer mais mon salut doit être tout sauf naturel !

    Heureusement ils ne s'attardent pas et passent leur chemin. Et aussitôt les va et viens s'arrêtent mais sa queue toujours dans ma chatte prête à repartir de plus belle. Et voilà une femme qui promène son chien qui passe sur le trottoir d'en face. Et je sens sa queue me prendre de nouveau sans répit encore plus rapide que la 1ère fois ! Ce pervers fait tout pour que je me fasse remarquer. Oh le chien s'arrête dans le caniveau et la femme l'attend. De nouveau je ne peux retenir un gémissement sous ses coups de boutoirs et voilà que la femme lève la tête et me voit. Je suis tétanisée et mon corps est ballotté d'avant en arrière. Mon voisin accélère et je sens le rideau bouger ! je suis foutue ! Je vois le regard de la femme qui exprime la stupeur. C'est sût elle a tout compris. Mais heureusement la femme tire violemment son chien, prononce quelques phrases de dégoût où j'entends le mot "honte" plusieurs fois et s'en va un peu plus loin.

    Oh quand tout cela va-t-il finir ? A chaque fois c'est un nouveau supplice. Les ballottements stoppent tout net et je sens sa queue se retirer de ma chatte.

      - Je vais monter en puissance, dit alors mon voisin. La prochaine fois on parie que tu vas couiner ? Je vais quand même pas risquer de t'engrosser en lâchant ma purée dans ta chatte, hein ?

    Et là je sens qu'il écarte mes fesses avec la paume de ses mains et je sens tout de suite après son dard se présenter devant mon anus. Et de nouveau, il pousse un petit coup pour rentrer quelques centimètres. Je pousse un cri ! je suis sèche par là et son sexe me perfore douloureusement. Mais heureusement personne dans la rue. Et de nouveau le même rite. Il attend dans cette position, son sexe à moitié entré, les secondes semblent durer des heures. Je sens ses mains tenir fermement mes hanches prêtes à me prendre de nouveau sans pitié au prochain passant !

    Toujours personne ! Je sens qu'il maintient son sexe en position et il joue à me triturer fermement la peau de mes hanches allant jusqu'à les pincer, sans doute pour me tester en attendant. Je grimace mais retient un cri de douleur.

    J'attends avec angoisse le passage du prochain passant. Je sais qu'il n'attend que ça pour me bousculer et me pénétrer chaque fois un peu plus fort et un peu plus rapide, et cette fois je sais que par mon petit orifice je ne supporterai pas sa pression.

    Oh mais j'entends les voix de deux femmes qui arrivent sur le trottoir contre la maison encore invisibles mais elles seront vite là. Je me rétracte sus le stress et mon voisin sent bien que je suis fragilisée et c'est le moment qu'il choisit pour s'enfoncer brutalement dans mes intestins ! Je ne peux retenir un cri de douleur et j'affaisse mon visage sur la rambarde.

      - Aaaaaarggggh !

    J'essaie d'étouffer mon cri mais les deux commères lèvent aussitôt le nez en l'air ! Elles sont là ! à quelques mètres de moi et je croise leur regard interloqué. Je dois avoir le visage cramoisi de douleur et je vois qu'elles sont éberluées. Elles passent toutes deux la main devant leur bouche pendant que mon voisin fait des va et viens en me forçant chaque fois plus loin en me tenant par les hanches. c'est maintenant tout mon corps qui fait des va et viens ! Je lâche prise ! Je sens que le rideau bouge. c'est sûr, elles m'ont reconnue et elles savent très bien ce que je fais chez mon voisin !

    Je halète comme une petite chienne sous ses à coups : c'est horrible je suis en train de me montrer dans un spectacle porno dans ma propre rue ! Et je me fais sodomisée chez mon voisin d'en face sans me défendre !

      - Oh mais c'est Florence, tu avais raison ! J'en crois pas mes yeux !

      - Si son mari savait ça ! C'est honteux ! En plus chez ce voisin ! Il faut croire qu'elle doit aimer ça la salope !

    Je baisse le regard, je suis découverte ! Je vais dorénavant être considérée comme une salope qui va se faire prendre chez l'homme le plus pervers du quartier !

    J'ai les larmes qui coulent, à la fois de douleur et de honte mais il continue à me bousculer. J'ai l'anus en feu, je suis écartelée. Et d'un coup je suis poussée en avant les seins plaqués sur la rambarde et je sens qu'il se libère en poussant un râle sonore !

    Les deux commères continuent leurs chemins et j'entends encore quelques bribes de leur conversation

      "c'est honteux"

      "c'est une putain"

      "quel exemple pour les jeunes !"

      "jamais je n'aurais cru ça d'elle"

      "elle doit y prendre du plaisir"

      "quand les autres sauront ça"...

    Je suis finie, abattue, effondrée. Mon voisin en profite pour me tirer par les cheveux et me ramener derrière le rideau ! J'ai mon anus qui me fait mal et je vois son sexe tout souillé devant moi.

      - Approche et nettoie mon sexe avec ta robe ! Et la prochaine fois je te fais tout nettoyer avec la bouche !

    Horrifiée, je m'exécute et nettoie son sexe qui sent fort et est souillé de mes propres intestins, je le nettoie avec ma propre robe ! C'est moi qui vais sentir après !

      - Allez tu dégages maintenant et je garde ton string en souvenir ! Des fois qu'un jour j'en fasse cadeau à ton mari ! Il serait surpris hein ?

      - Oh pitié monsieur !

    Mais je sens qu'il abuse de son pouvoir et qu'il aime ça par dessus tout alors sans demander mon reste je redescend les escaliers et retraverse la rue en faisant attention de ne pas me faire remarquée et rentre précipitamment chez moi en claquant le portail comme pour revenir dans un monde sécurisant ! Mais je vais comprendre rapidement que ma déchéance n'est pas terminée.

     

    Florence 5

 

 

© THE BDSM CIRCLE - LE CERCLE BDSM 2016